FLETCHER ◇ just hold on, we're going home. (finie)

✰ NOM COMPLET: COHEN Fletcher ✰ ÂGE: vingt-cinq ans ✰ DATE ET LIEU DE NAISSANCE: cinq mars à New York(États-Unis)✰ NATIONALITÉ: américaine ✰ ORIGINES: juive  ✰ STATUT CIVIL: en couple ✰ EMPLOI/ÉTUDES: barman + prof particulier de maths ✰ STATUT MONÉTAIRE: moyen ✰ TRAITS DE CARACTÈRES:  impulsif, drôle, charmeur, têtu, impatient, maladroit, colérique, franc, mystérieux, loyal, téméraire, étourdi, amusant, orgueilleux ✰ GROUPE: workers

se racle la gorge lorsqu'il est gêné + mâche sans cesse un chewing-gum + est asthmatique mas se contrefiche des revendications des médecins + fume comme un pompier + n'aime pas trop les trajets en voiture et opte souvent pour les transports en commun ou bien fait les trajets à pieds + c'est un fan inconditionné de musique + il a abandonné au bout de la deuxième année ses études de médecine  + il travaille comme barman et donne des cours de maths + a toujours recherché son indépendance pensant que ça le guiderait vers la liberté + n'aime pas se sentir fixé+ fredonne souvent des chansons + se ronge les onglets  

 ✰  PLAYLIST OF YOUR LIFE
DOWN BY THE RIVER  milky chance + ARE YOU GONNA BE MY GIRL? jet + ALL THOSE FRIENDLY PEOPLE funeral suits + FOREVER YOUNG youth group + NIGHTCALL kavinsky + HEY BROTHER avicii +HEADS WILL ROLL (A-TRAK REMIX) yeah yeah yeahs + ALL THE GIRLS the bloody beetroots ft. theophilus london + MIDNIGHT CITY m83 + I WANNA BE YOUR MAN willy moon +GET LUCKY daft punk + FEEL THE LOVE rudimental love ft. john newman + INTO THE FIRE thirteen senses

► (5/03/88) né à New York, tes parents ont toujours été fan de cette ville. Toi aussi d'ailleurs, tu avais vécu maintes expériences ici, c'est ici que tout avait débuté. Tu ne regrettais jamais d'y avoir passé une partie de ton enfance qui fut probablement l'une des plus belles périodes au cours ta vie. Tu avais été toujours le petit protégé de la famille, un élément fragile dont tout le monde adorait se préoccuper. Le petit dernier des Cohen, tes parents avaient beau ne pas crouler sous l'argent, toutefois ils faisaient tout pour que tu ne manques rien. Tu étais l'enfant roi et d'ailleurs tu l'avais toujours été. Tes parents n'avaient pas souhaité avoir d'autres enfants, préférant consacrer leur temps seulement à toi. Pourtant, tu avais beau ne rien manqué, tu n'étais pas imbus de ta personne quand bien même tu n'avais pas le comportement du sale gosse égoïste, tu étais quelqu'un d'assez généreux bien que tu restais très caractériel. Tu avais certains principes et certaines valeurs(que tes parents avaient inculqué) et de ce fait, tu refusais de prendre les autres de haut comme tu étais habitué à voir dans les cours de récréation. Tes parents avaient opté pour une école privée pour maximiser tes chances de rentrer dans de grandes écoles comme Harvard. Ils avaient toujours souhaité de faire de toi "la tronche de famille", celui qui intégrera les meilleures écoles et qui terminera probablement comme secrétaire adjoint du Président. Mais tes parents étaient beaucoup trop ambitieux pour toi et ils allaient s'en rendre compte dans pas longtemps.
►(17/04/96) Les enfants jouaient, criaient, se poursuivaient les uns et les autres. Certains étaient beaucoup plus calmes et préféraient jouer dans un coin. Tu regardais les autres jouer, ne te sentant pas vraiment à ton aise dans cette école. Pourtant, peu vous séparait entre ces enfants et toi. Tout comme eux, tu ne manquais de rien. Vous aviez le même âge, mais leurs parents à eux étaient tous richissimes et le salaire d'un de leur parent valait souvent le triple de celui de tes deux parents réunis. Tu les entendais parler de toi mais tu t'en fichais, préférant rester indifférent à ce genre de comportements. Tu ne te plaignais pas auprès de tes parents, tu savais qu'ils faisaient d'énormes sacrifices pour toi et tu tentais de te montrer reconnaissant en obtenant de bonnes notes.  Mais aujourd'hui, alors que tu t'étais installé sur un banc isolé, un enfant décida de venir de te casser les pieds. Tu avais toujours été un enfant colérique, et quand on te piquait au vif, tu réagissais. C'est ce qui se produisit et tous les enfants t'accusèrent d'avoir cherché Elliot. La directrice prit la décision de te renvoyer cette école même si tes parents avaient tout tenté pour la dissuader. Si tu avais été un de ces enfants à papa blindé, ce dernier aurait sorti un gros chèque, ce qui aurait fini par faire changer la directrice d'avis mais tes parents n'avaient aucunement les moyens d'agir de cette sorte et durent ainsi t'inscrire dans une école publique. Tu les décevais alors qu’auparavant, tu avais toujours été un enfant exemplaire mais tu t'étais laissé débordé par les événements et lorsque cet enfant t'avait provoqué, tu n'avais su réagir autrement que le pousser avant que ça se termine en bagarre. Tu eus le droit à la morale. Tu eus le droit à une sanction. Mais c'est quand tu rentras dans ta nouvelle école, que tu te sentis mieux. Les élèves te ressemblaient davantage et tu n'eus pas de mal à te faire des amis.
► (20/08/2001) Tu observais chaque recoin de l'appartement dans lequel tu vivais désormais. Tu venais d'emménager dans cet appartement avec tes parents qui avaient préféré vendre leur grande maison pour pouvoir plus tard, te payer les études que tu souhaitais. A treize ans maintenant, tes études étaient devenue la grande question. Tes parents t'imaginaient pleins de métiers et avec les résultats que tu avais à l'école, les grandes écoles t'étaient ouvertes. Toi, tu n'avais vraiment dans l'idée de rejoindre Harvard ou encore Columbia, mais tu préférais leur laisser ce brin d'espoir que peut-être un jour, tu pourras rejoindre une de ces écoles. Dans quelques jours, c'était la rentrée. Tu n'étais pas pressé de reprendre l'école, surtout que tu savais que tu allais subir encore cette année cette même pression qu'avait l'habitude de te mettre tes parents. Tes parents avaient jugé bon de se présenter autour de vous auprès des familles déjà résidentes par ici et toi, tu avais préféré commencer à installer tes affaires. Il avait toujours fallu que tes parents en face des tonnes, comme si ils avaient de se faire voir, ce que tu n'avais jamais compris. Tu les laissais et tu rangeais ta chambre avant de t'étaler sur ton lit.
► (15/09/2001) Tu rentrais de l'école, accompagnée d'une jeune fille dénommée Tatiana. A vrai dire, elle habitait à coté de chez toi et vous aviez fait plus ample connaissance sur le chemin de l'école. Elle était gentille, beaucoup trop à ton goût. Assez réservée, il était dur parfois de lui faire cracher le morceau sur des sujets dits tabous mais tu l'appréciais. Tu avais engagé la conversation quand tu t'étais rendu compte qu'en plus d'habiter à coté, vous étiez dans la même école. Scolairement, tes parents semblaient te laisser un peu plus de liberté et ne t'espionnais plus lorsque tu étais dans ta chambre et que tu leur assurais que tu travaillais alors qu'ils étaient penchés derrière toi. Ils avaient un travail qui leur demandaient du temps et ne pouvaient plus être derrière ton dos, pour ton plus grand bonheur. Tes résultats étaient toujours aussi brillants.
►(20/02/2004). Seize ans. Tu découvres les aléas de la fête et tu commences à être accro à la cigarette, touche un peu le joint et il n'était pas plus rare de te croiser aux fêtes du samedi soir chez ton ami Dex. Tes parents le jugeaient étrange et infréquentable mais lorsqu'on est adolescent, on avait tendance à faire le contraire de ce que les parents nous ordonnaient. Toujours en contact avec Tatiana, tu l'avais entrainé dans ton mode de vie et elle semblait tout aussi bien apprécié vivre la nuit. Vous étiez souvent coltinés ensemble mais tu finissais par rejoindre une autre fille et elle finissait souvent par se faire aborder par un de ces types. Tu étais devenu un peu le genre de types qui avaient des relations brèves avec les jeunes femmes et ça se terminait aussi vite que ça commençait. Scolairement, tes notes étaient tout aussi correctes mais lorsque tu avais annoncé à tes parents que tu préférais rejoindre une fac de médecine plutôt qu'Harvard, ils le prirent mal. Puis finalement, ils t'imaginèrent comme un chirurgien à la renommée internationale et tu dus admettre que tes parents ne changeront jamais. C'est lorsqu'ils se rendirent chez les médecins et que ce dernier lâchait à tes parents que tu étais un très grand fumeur de joint que tu eus le droit à toute sorte de punition. Interdit de sortir, interdit de portables que tu commençais à ouvrir les yeux sur tes parents. Tu avais toujours pensé pour qu'ils te laissent ta liberté, qu'il fallait que tu abondes dans leur sens mais tu trompais. Tu n'avais jamais eu le courage de leur dire d'arrêter leur cirque, que tu ne seras pas l'enfant qu'ils souhaitaient avoir. Tu préférais alors sortir en cachette, tu fis le mur de nombreuses fois et jamais tes parents se rendirent compte de ton stratège. Fin
► (20/04/2008) Tu avais obtenu ton diplôme à l'école avec les félicitations de tout l'équipe pédagogique des élèves et les applaudissements enjoués de tes parents, qui semblèrent plus heureux que toi pour l'obtention de ton diplôme. Comme tu avais souhaité, tu avais été accepté en fac de médecine. Pour ton plus grand bonheur, tu te détachais de tes parents car quand tu rentrais le soir, ils étaient soit absents, soit ils étaient endormis. Entre les fois où tu rentrais de soirée et les fois où tu rentrais de la bibliothèque, tu n'avais plus de temps leur accorder, même le dimanche. En effet, tu voyais fréquemment tes amis ou bien tu préférais te reposer. Alors que tout allait bien dans tes études de médecine, tu décidais de tout arrêter. Tu n'avais plus envie d'étudier le corps humain, tu ne voulais plus apprendre les particularités du cerveau humain et c'est ainsi, au bout de deux ans, que tu te demandais à t'arrêter dans tes études. Tes parents criaient dans tous les coins de l'appartement en entendant cette nouvelle. Ils te parlaient de chômage, de misère tandis que toi, tu préférais ignorer et tu décidais d'enfin leur répondre avec insolence. Tu ne voulais plus vivre ici. Tu décides de faire tes valises et rejoins l’appartement d'un tes amis le temps que tu trouves un lieu pour vivre. Alors que vous étiez en soirée, sur un coup de tête tu embrasses Tatiana et tu finis par coucher avec elle. Tu appréciais ce genre de moments partagés avec elle, pas de prise de tête, Tatiana était vraiment la petite copine rêvée de tous. Mais pour toi, tout était clair: vous n'étiez que des meilleurs amis qui partageaient des moments qui résultaient plus que de l'amitié. Tu ne lui devais aucun compte et tu n'avais pas besoin d'ajouter petite copine à ta liste de problème. Il te fallait trouver un appartement au plus vite, ne supportant plus les remarques incessantes de ton ami. Tu l'aimais bien, mais comme colocataire, ça n'était pas possible.
► (8/07/2008) Derniers cartons rentrer, tu regardes le camion partir. Ça y est, tu l'avais ton indépendance. Après avoir trimé pour trouver chez qui tu pouvais vivre, Tatiana et toi aviez décidé de prendre un appartement dans Brooklyn. Tu ne pouvais rêver de mieux. Tu lui avais parlé de tes problèmes de logement et c'est d'un commun d'accord que vous aviez pris cette décision d'être désormais colocataire. Elle était ta meilleure amie et tu te savais libre avec elle. Ton autre meilleur ami, Ashton qui était en galère vous demanda de l'héberger quelques jours et c'est finalement quelques mois plus tard qu'il s'installa avec vous. Vous partagiez bien votre colocation à trois. Tu te rendais de temps à autres dîner chez tes parents mais à chaque fois que tu venais les voir, tu avais le droit à un tas de questions sur tes projets pour le futur. Tu n'en avais aucun et tu n'en avais jamais eu alors tu inventais toutes sortes mensonges pour les forcer à changer de conversation et plus le temps s'écouler, moins tu leur rendais visite. Tu obtins un poste auprès d'un bar de nuit en temps que barman. Ça permettait de payer ton logement et tes dépenses personnelles et tu n'appréciais plus les longues journées seul, devant la télé. Tu draguais les quelques jeunes femmes qui venaient de demander des consommations au comptoir et quand tu étais chanceux, tu terminais souvent avec l'une d'elle mais tu ne recherchais rien de sérieux. La fidélité n'avait jamais été ton fort hélas.
► (3/08/2013) Des années s'étaient écoulées et tu étais toujours le même. Tu bossais toujours au même bar et bien que ton salaire était assez conséquent pour te permettre de mener une vie parfaite, tu décidais de faire quelques annonces comme professeur de maths. Tu avais toujours adoré cette matière et puis tu avais envie désormais de partager ton loisir autour de toi. Tu eus quelques demandes de parents désespérant face aux résultats médiocres de leurs enfants et tu découvris par toi-même que tu étais fort dans les explications. Tu eus une fois une demande pour une personne plus âgée, qui avait à peu près ton âge et qui souhaitaient renforcé ses résultats et tu acceptais bien que tu avais peur de ne pas être à son niveau. Toutefois, lorsque vous débutiez les cours, tu découvrais en cette jolie fille qu'elle était tout ce que tu appréciais chez une fille et quelques jours plus tard, tu te surpris toi-même à lui demander de sortir avec elle. L'était se déroulait et tu étais de plus en plus collée à cette jeune femme et finalement deux semaines plus tard, vous étiez un couple. Tu l'appréciais bien qu'elle te cassait parfois les pieds. Tu devais apprendre avec sa jalousie auprès de Tatiana alors que tu lui assurais qu'elle n'était rien d'autre que ta meilleure amie et se posait un tas de questions dès que tu rentrais tard chez elle, ne comprenant pas que ton travail avait des horaires de nuit. Pourtant, tu tenais à elle, même si elle était casse pied, les moments partagés avec elle étaient toujours agréables. Elle t'avait présenté déjà à ses parents mais toi, tu préférais attendre. Sinon tes parents te verraient déjà mariés, trois enfants avec et tu ne voulais pas aller trop vite, alors qu'elle parlait déjà de ton emménagement prochain dans son appartement.
► (15/11/2013) La soirée avait dégénérée, tu avais trop bu. Entouré de tous tes amis dans ton appartement, tes sens étaient mêlés. Encore Ashton qui avait eu cette idée de soirée. Tu avais profité du départ de ta petite-amie pour organiser cette soirée. Elle était partie voir quelques amis dans le New Jersey et bien qu'au début, elle t'envoyait quelques messages, elle finissait par te laisser tranquille. Assis sur le canapé, une bière à la main, tu souris en voyant Tatiana s'approcher de toi. Voilà plusieurs temps que vous n'aviez pas eu l'occasion de parler entre ta petite-amie et sa vie privée à elle. Vous parliez de tout et de rien et alors que tu fus prise d'une envie subite, tu l'embrassais. Baiser assez fougueux et tu l'entrainais dans ta chambre et ça terminait comme le bon vieux temps. Renouer avec le passé n'avait jamais été aussi bon et alors que tu pensais à ta pauvre petite-amie qui devait déjà se faire un sang d'encre pour toi, Tatiana finit par t'avouer qu'elle souhaitait se poser avec toi. La seule réaction que tu eus fut de dire: Arrête, tu dis ça parce que tu es trop ivre. Sauf qu'elle t'avérait que ce n'était pas une question d'alcool et que tout ça n'était purement que vérité. Tu ne savais pas trop lui répondre et préférais te taire. Depuis ce jour, tu n'en avais parlé à personne et préférais passer tes soirées chez ta petite-amie, qui se faisait un plaisir de t'accueillir par ici, excluant le plus possible l'idée de revenir à l'appartement que tu partageais avec la jolie blonde. Tout ça ne devait rien te faire, Tatiana c'était que ta meilleure amie non ? Et si tu te trompais, et si tu ressentais quelque chose ? Tu te posais trop de questions mais pour l'instant tu ne souhaitais pas affronter ta meilleure amie. Même si tu avais partagé un moment merveilleux avec elle il y avait encore quelques jours, tu préférais éviter tout contact avec. C'était mieux, oui.

PSEUDO ET PRÉNOM.lollipops/ maïlig ÂGE ahahah  FUSEAU HORAIREFrance.FRÉQUENCE DE CONNEXION 4-5/7 AVATAR adam gallagher   COMMENTAIRE, AVIS    CASSDÉDI, AUTRE  écrire ici. SCÉNARIO oui, Tatianna.